Les jolies colonies de vacances
Comme tous les ans, le groupe de Christophe et Christine -vous situez ? le couple de Gourbeyre, les randonneurs chez qui nous avions passé deux jours le mois dernier- s’est donné rendez-vous à Porte d’Enfer ce week-end de Toussaint pour du camping. Conviés à ce grand rassemblement (une trentaine de personnes), nous avons passés deux jours que l’on pourrait résumer en quelques mots : nature, farniente et convivialité !
Tout ce petit monde s’est retrouvé samedi dans la matinée. Plusieurs autres familles avaient aussi eu l’idée de s’installer quelques jours à cet endroit. Les premiers arrivés se sont donc chargés de « réserver » un carbet. En revanche, les antillais, adeptes habituellement des pique-nique du dimanche, étaient rares ce week-end en raison de la célébration des morts. A cette occasion, les familles se rassemblent et les cimetières deviennent plus vivants et illuminés par une multitude de petites bougies.
Les tentes, plus ou moins sophistiquées, ont poussé comme des champignons jusqu’à l’heure de l’apéro. Avec Ben, n’étant pas vraiment équipés, nous avions emprunté deux hamacs à Brigitte, qui ont trouvé leur place à merveille entre deux arbres. Le rhum a pointé son nez, chacun a sorti de son sac quelques victuailles et nous avons commencé à nous mêler au groupe. La plupart des gens se connaissaient déjà mais il n’a pas été difficile de s’intégrer. Après une sieste, un court d’aquagym s’est improvisé (il y avait quelques profs de sport parmi nous), et chacun a profité de cet après-midi sur le thème « détente dans ce lieu paradisiaque ». A la nuit tombée, un feu de camp a commencé à saisir des grillades. Et nous voilà partis pour une soirée sympathique, sous les lampions du carbet. Pour bien finir nous avons joué au post-it, et d’autres se sont lancés dans un poker jusque tard dans la nuit.
Au petit matin, quel bonheur de se réveiller juste au bord de mer pour un petit-dej’ convivial. Une balade au bord des falaises était alors prévue. Comme nous l’avions faite peu de temps avant, Christophe nous a accompagnés sur la plage de l’Anse Pistolette (plage de galets parsemée d’ordures, eh oui, c’est aussi ça la Guadeloupe !), puis à la Pointe de la Grande Vigie (un superbe point de vue au nord-est de la Grande Terre). Tout le monde s’est ensuite rejoint le midi et rebelote : pique-nique, discussions, baignade, bronzette, pétanque (dont nous avons été les champions incontestés !)…L’après-midi, Christophe a voulu nous emmener sur un site de pêche à la langouste. Heureusement que nous ne comptions pas là-dessus pour le dîner car il est rentré bredouille (lui seul a plongé, car palmes et arbalète sont nécessaires et nous n’étions pas équipés) ! De retour au camp, il ne restait plus grand monde car nombreux étaient ceux qui travaillaient le lundi matin. La soirée a donc été plus intime mais tout aussi chouette. Par contre, les moustiques étaient toujours au rendez-vous, plutôt coriaces et nombreux, et il a fallu s’en protéger d’autant plus que des cas de dengue commencent à être recensés.
Le camping n’étant pas vraiment le « truc » de Ben, nous n’avions pas prévu de rester la seconde nuit, mais il s’est laissé convaincre, juste pour le plaisir de dormir sous les étoiles. C’est quand même plutôt cool ! Par contre ce matin, de retour à l’appart, complètement crevé, il est rapidement retourné se coucher ! Moi par contre, j’ai dormi comme un loir dans mon hamac. A quand la prochaine fois ?
Enfin nous voici de retour à Dubedou. Je bosse mercredi et Ben s’est forcé à se replonger dans les copies : encore 2 paquets sur 4 avant jeudi!
Tout ce petit monde s’est retrouvé samedi dans la matinée. Plusieurs autres familles avaient aussi eu l’idée de s’installer quelques jours à cet endroit. Les premiers arrivés se sont donc chargés de « réserver » un carbet. En revanche, les antillais, adeptes habituellement des pique-nique du dimanche, étaient rares ce week-end en raison de la célébration des morts. A cette occasion, les familles se rassemblent et les cimetières deviennent plus vivants et illuminés par une multitude de petites bougies.
Les tentes, plus ou moins sophistiquées, ont poussé comme des champignons jusqu’à l’heure de l’apéro. Avec Ben, n’étant pas vraiment équipés, nous avions emprunté deux hamacs à Brigitte, qui ont trouvé leur place à merveille entre deux arbres. Le rhum a pointé son nez, chacun a sorti de son sac quelques victuailles et nous avons commencé à nous mêler au groupe. La plupart des gens se connaissaient déjà mais il n’a pas été difficile de s’intégrer. Après une sieste, un court d’aquagym s’est improvisé (il y avait quelques profs de sport parmi nous), et chacun a profité de cet après-midi sur le thème « détente dans ce lieu paradisiaque ». A la nuit tombée, un feu de camp a commencé à saisir des grillades. Et nous voilà partis pour une soirée sympathique, sous les lampions du carbet. Pour bien finir nous avons joué au post-it, et d’autres se sont lancés dans un poker jusque tard dans la nuit.
Au petit matin, quel bonheur de se réveiller juste au bord de mer pour un petit-dej’ convivial. Une balade au bord des falaises était alors prévue. Comme nous l’avions faite peu de temps avant, Christophe nous a accompagnés sur la plage de l’Anse Pistolette (plage de galets parsemée d’ordures, eh oui, c’est aussi ça la Guadeloupe !), puis à la Pointe de la Grande Vigie (un superbe point de vue au nord-est de la Grande Terre). Tout le monde s’est ensuite rejoint le midi et rebelote : pique-nique, discussions, baignade, bronzette, pétanque (dont nous avons été les champions incontestés !)…L’après-midi, Christophe a voulu nous emmener sur un site de pêche à la langouste. Heureusement que nous ne comptions pas là-dessus pour le dîner car il est rentré bredouille (lui seul a plongé, car palmes et arbalète sont nécessaires et nous n’étions pas équipés) ! De retour au camp, il ne restait plus grand monde car nombreux étaient ceux qui travaillaient le lundi matin. La soirée a donc été plus intime mais tout aussi chouette. Par contre, les moustiques étaient toujours au rendez-vous, plutôt coriaces et nombreux, et il a fallu s’en protéger d’autant plus que des cas de dengue commencent à être recensés.
Le camping n’étant pas vraiment le « truc » de Ben, nous n’avions pas prévu de rester la seconde nuit, mais il s’est laissé convaincre, juste pour le plaisir de dormir sous les étoiles. C’est quand même plutôt cool ! Par contre ce matin, de retour à l’appart, complètement crevé, il est rapidement retourné se coucher ! Moi par contre, j’ai dormi comme un loir dans mon hamac. A quand la prochaine fois ?
Enfin nous voici de retour à Dubedou. Je bosse mercredi et Ben s’est forcé à se replonger dans les copies : encore 2 paquets sur 4 avant jeudi!