Week end du patrimoine
La fin de semaine promettait d’être chargée : le programme prévoyait un pique-nique entre collègues organisé par un syndicat sur une plage de Sainte-Anne, une descente sur Basse-Terre dans la maison de Christophe et Christine (pour résumer, des amis d’amis que nous avons rencontré cet été), un concert de rock et, le dimanche, une randonnée. Cependant une invitée imprévue s’est présentée : la pluie ! Alerte orange provoquée par des « ondes tropicales » (pas encore un cyclone, pas de panique !).
Résultat des courses, il a fallu quelque peu revoir notre plan. Le vendredi soir, invitation surprise de la famille Viviès à venir déguster le foie gras que nous leur avions apporté, et à dire au revoir à Martin, le fils de la famille revenu pour une semaine. Le foie gras fut bon et la soirée très agréable, comme d’habitude, partagée entre billard et golf sur la Wii. Ca aurait été dommage de louper ça !
Le lendemain, l’idée du pique-nique sur la plage ayant du plomb dans l’aile, nous décidons de profiter un peu de la journée du patrimoine et de visiter un peu Pointe-à-Pitre. Au réveil, surprises ! Laquelle voulez-vous d’abord ? La bonne ou la mauvaise? La bonne fut quelques viennoiseries pour le petit dej’, rapportées par Thierry de bon matin, cool ! La mauvaise fut une C3-baignoire : ne pas oublier de fermer les fenêtres d’une voiture en Guadeloupe, surtout en ces périodes de grosses pluies ! Maintenant en attendant que ça sèche, ça sent bien le pourri !
Arrivés à Pointe-à-Pitre, nous avons tout d’abord visé le musée Schœlcher, ayant bien sûr pour thème l’esclavage et son abolition. Nous avons ensuite pris le chemin du marché aux épices. Peu de monde en raison de la pluie, mais Ange est repartie avec un assortiment complet d’épices variées pour un prix très raisonnable (pour l’anecdote, elle a dû payer le tout trois fois moins cher que les prix initialement indiqués !). Le petit tour s’est ensuite poursuivi jusqu’à la place de la Victoire (si si, mais là ils n’ont pas encore bâti d’obélisque !), mais la ville était pratiquement déserte et la pluie omniprésente… nous sommes donc retournés à la voiture.
Avant de rejoindre nos amis, nous sommes aussi allés nous promener au Fort Fleur d’Epée et dans la Marina de Pointe-à-Pitre, tous les deux à l’est de la ville. Le premier est un ancien poste d’observation sur l’Atlantique d’où l’on aperçoit maintenant quelques pélicans voler, la deuxième est un grand port de plaisance sans trop d’intérêt.
La soirée sur Basse-Terre a tenu ses promesses : le repas avec Christophe et Christine a été l’occasion de faire un peu mieux connaissance. En seconde partie de soirée, nous nous sommes rendus dans un restaurant dans les hauteurs de la ville, l’Orangerie, où un groupe de rock jouait. Le rock n’étant pas trop la tasse de thé des Antillais, le public était très « métro ». Peu d’immersion donc, mais un concert sympa, composé de reprises de K’s Choice, U2, Muse et autres Pink Floyd… Une amusante surprise également : au milieu du bar était encadré un maillot… du Biarritz Olympique !... eh oui, le patron, agenais d’origine, a un petit frère qui y a joué en espoir !
Le lendemain, la randonnée ayant été annulée, nous sommes partis visiter une fabrique de Café, la « Maison de la Grivelière », sur les hauteurs de la Basse-Terre, au milieu de la forêt. Endroit charmant et encore en activité plein de plantes variées et d’ « anolis » à photographier !
Puis, après un pique-nique/baignade en bord de rivière, nous nous sommes orientés vers le Parc des Roches Gravées de la ville de Trois-Rivières : en ce lieu ont été retrouvées des roches gravées par les civilisations pré-colombiennes, notamment le peuple des Arawaks. Bon, honnêtement, les gravures, il faut savoir qu’elles y sont pour les deviner !... mais le parc est superbe et présente une grande variété d’espèces botaniques guadeloupéennes. Petite flânerie de fin de week-end donc, avant le retour vers notre appart de Dubédou. Sur la route, courte pause dans une kassaverie. La kassav est une sorte de crêpe épaisse préparée à base de farine de manioc, nature ou fourrée à la noix de coco par exemple…on avait envie de goûter, mais nous restons moyennement convaincus.
Au final, le week-end nous a laissés fatigués mais ravis.
Résultat des courses, il a fallu quelque peu revoir notre plan. Le vendredi soir, invitation surprise de la famille Viviès à venir déguster le foie gras que nous leur avions apporté, et à dire au revoir à Martin, le fils de la famille revenu pour une semaine. Le foie gras fut bon et la soirée très agréable, comme d’habitude, partagée entre billard et golf sur la Wii. Ca aurait été dommage de louper ça !
Le lendemain, l’idée du pique-nique sur la plage ayant du plomb dans l’aile, nous décidons de profiter un peu de la journée du patrimoine et de visiter un peu Pointe-à-Pitre. Au réveil, surprises ! Laquelle voulez-vous d’abord ? La bonne ou la mauvaise? La bonne fut quelques viennoiseries pour le petit dej’, rapportées par Thierry de bon matin, cool ! La mauvaise fut une C3-baignoire : ne pas oublier de fermer les fenêtres d’une voiture en Guadeloupe, surtout en ces périodes de grosses pluies ! Maintenant en attendant que ça sèche, ça sent bien le pourri !
Arrivés à Pointe-à-Pitre, nous avons tout d’abord visé le musée Schœlcher, ayant bien sûr pour thème l’esclavage et son abolition. Nous avons ensuite pris le chemin du marché aux épices. Peu de monde en raison de la pluie, mais Ange est repartie avec un assortiment complet d’épices variées pour un prix très raisonnable (pour l’anecdote, elle a dû payer le tout trois fois moins cher que les prix initialement indiqués !). Le petit tour s’est ensuite poursuivi jusqu’à la place de la Victoire (si si, mais là ils n’ont pas encore bâti d’obélisque !), mais la ville était pratiquement déserte et la pluie omniprésente… nous sommes donc retournés à la voiture.
Avant de rejoindre nos amis, nous sommes aussi allés nous promener au Fort Fleur d’Epée et dans la Marina de Pointe-à-Pitre, tous les deux à l’est de la ville. Le premier est un ancien poste d’observation sur l’Atlantique d’où l’on aperçoit maintenant quelques pélicans voler, la deuxième est un grand port de plaisance sans trop d’intérêt.
La soirée sur Basse-Terre a tenu ses promesses : le repas avec Christophe et Christine a été l’occasion de faire un peu mieux connaissance. En seconde partie de soirée, nous nous sommes rendus dans un restaurant dans les hauteurs de la ville, l’Orangerie, où un groupe de rock jouait. Le rock n’étant pas trop la tasse de thé des Antillais, le public était très « métro ». Peu d’immersion donc, mais un concert sympa, composé de reprises de K’s Choice, U2, Muse et autres Pink Floyd… Une amusante surprise également : au milieu du bar était encadré un maillot… du Biarritz Olympique !... eh oui, le patron, agenais d’origine, a un petit frère qui y a joué en espoir !
Le lendemain, la randonnée ayant été annulée, nous sommes partis visiter une fabrique de Café, la « Maison de la Grivelière », sur les hauteurs de la Basse-Terre, au milieu de la forêt. Endroit charmant et encore en activité plein de plantes variées et d’ « anolis » à photographier !
Puis, après un pique-nique/baignade en bord de rivière, nous nous sommes orientés vers le Parc des Roches Gravées de la ville de Trois-Rivières : en ce lieu ont été retrouvées des roches gravées par les civilisations pré-colombiennes, notamment le peuple des Arawaks. Bon, honnêtement, les gravures, il faut savoir qu’elles y sont pour les deviner !... mais le parc est superbe et présente une grande variété d’espèces botaniques guadeloupéennes. Petite flânerie de fin de week-end donc, avant le retour vers notre appart de Dubédou. Sur la route, courte pause dans une kassaverie. La kassav est une sorte de crêpe épaisse préparée à base de farine de manioc, nature ou fourrée à la noix de coco par exemple…on avait envie de goûter, mais nous restons moyennement convaincus.
Au final, le week-end nous a laissés fatigués mais ravis.